Lorsqu’un particulier fait appel à un installateur de chaudière à bois, il choisit de poser un système de chauffage central à la fois économique, en raison du coût limité du combustible, mais également écologique lorsqu’il provient d’une exploitation forestière renouvelable. En utilisant notre annuaire RGE, vous avez la possibilité de trouver un prestataire Reconnu Garant de l’Environnement pour effectuer votre installation et bénéficier d’aides de la part de l’Etat.
Le combustible, qu’il s’agisse de bûches, de granulés ou de plaquettes, est inséré dans la chaudière afin d’initier la combustion. En brûlant, il produit de la chaleur qui est transmise à un liquide caloporteur à destination du circuit de chauffage. Le circuit en question s’organise en boucle, il s’agit donc d’un circuit fermé dont le point de départ est la chaudière elle-même.
Le fluide caloporteur circule au fil de cette boucle, alimentant les radiateurs qui vont alors pouvoir diffuser la chaleur qu’il leur transmet. Il revient ensuite à son point départ où il est de nouveau chauffé par le phénomène de combustion. Il s’agit du combustible le moins cher de marché, comme en témoignent les chiffres suivants :
En faisant appel aux services d’un installateur de chaudière à bois, l’occupant d’une habitation a la possibilité d’installer les équipements suivants :
Choisir de contacter un installateur de chaudière à bois pour mettre en place son système de chauffage repose sur deux critères environnementaux, à savoir la dimension renouvelable du combustible, et les émissions de gaz à effet de serre occasionnés par sa combustion.
Les dispositifs dotés du label Flamme Verte disposent de nos jours des meilleurs rendements et du plus bas taux d’émission de polluants. Les particules fines émises par un appareil classé 7 étoiles sont respectivement inférieures ou égales à 20 et 30 mg/Nm3 selon qu’il s’agisse d’un modèle à chargement automatique ou à chargement manuel.
Enfin, les combustibles en provenance d’une exploitation forestière renouvelable sont écologiques, puisqu’un nouvel arbre est planté pour chaque arbre abattu afin d’être exploité.